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Bonjour,
Les impacts qui ne seront pas évités ou réduits (dits impacts résiduels), feront l’objet d’une compensation avec un objectif de résultat en termes de gain écologique (ou en lien avec les obligations fixées dans le SDAGE Adour Garonne pour les zones humides). La surface de compensation pour les espèces protégées serait d’environ 161 hectares et d’environ 47ha pour les zones humides. Ces compensations seront mutualisées quand cela est possible. Les zones de compensation se situeront en priorité proche du site ou au plus loin à une quinzaine de km (en respect de l’article L.163-1 du Code de l’Environnement).
Les caractéristiques des zones de compensation sont définies selon des conditions précises en lien avec la DREAL Nouvelle-Aquitaine (Direction Régionale de l’Environnement de l’Aménagement et du Logement) :
Pour assurer la pérennité des mesures d’évitement, de réduction et de compensation, des mesures de suivi et d’accompagnement seront mises en œuvre et validées préalablement par les services de l’Etat.
Bonjour,
La zone d’envol restera vierge de tout équipement pour 70% de son emprise, les 30% restants étant constitués de voiries calcaire et rails.
L’ATOL sera décomposée en 3 parties :
De par sa taille et étant plus léger que l’air, les phases de décollage et d’atterrissage du dirigeable est une manœuvre critique et délicate. C’est pour cela que la zone de l’ATOL doit être travaillée et réalisée avec soin pour permettre son parfait déroulement.
Hormis les voies ferrées permettant de déplacer les dirigeables et les voies de circulation des véhicules l’ATOL reste une zone végétalisée conservant au maximum l’état initial du site.
L’A.T.O.L. est composée de plusieurs secteurs concentriques, qui font l’objet de préconisations différentes en fonction de leur usage et du cône d’envol du dirigeable. Les différents périmètres sont calculés en fonction du cône d’envol du dirigeable. Chaque zone sera maintenue dans l’état existant mais fera l’objet d’un plan de gestion afin de limiter la hauteur des ligneux.
L’ensemble de la zone doit avoir une végétation contrôlée variant de 15 cm, 40 cm, 60 cm à 1,00 m de hauteur.
L’entretien des zones 3, 4 et 5 se fera par fauche tardive entre septembre et février afin d’éviter les période sensible de la faune, notamment la période de reproduction du Fadet des laîches.
Bonjour,
Vous pouvez contacter la CCLNG au 05 57 58 98 87, nous vous adresserons vers le service développement économique. Toutefois, afin que vos contributions soient prises en compte dans le cadre de la concertation, nous vous invitons à nous faire parvenir vos questions/avis sur le site de la CCLNG.
Bonjour,
En dehors des abords directs de la Saye, l’étude environnementale menée sur une cycle végétal complet a mis en lumière la présence de 5 espèces végétales réglementairement protégées, il s’agit de l’ultriculaire citrine, la rossolis inermédiaire, la centenille naine, et localisées dans le fossé de la RD 250 : le peucedan officinal et le gaillet boreal.
En outre, plusieurs espèces ayant un statut patrimoniale ont été observées en dehors des abords de la Saye , parmi celles-ci, nous pouvons citer les plus importantes en terme de nombre de pieds relevés : le saule rampant, le piment royal, la lobelie brûlante, le genet d’Angleterre, le choin noiratre et l’avoine de Loudin.
Enfin, trois espèces de flore patrimoniale ont été observées le long du fossé de la RD250 : l’ail des bruyères, la grande pimprenelle et l’achille ptarmique.
Les oiseaux migrateurs ont fait l’objet d’un inventaire spécifique.
La migration correspond aux déplacements périodiques de millions d’oiseaux entre leurs lieux de nidification et leurs zones d’hivernage. Deux grandes phases migratoires sont distinguées :
Les observations ont été réalisées de sorte à obtenir une bonne détection des groupes d’oiseaux en déplacement. L’ensemble des informations (conditions météorologiques, espèces, nombre de spécimens, hauteur de vol, direction du vol) a été consigné avec un report cartographique pour les espèces patrimoniales ou les groupes conséquents le cas échéant.
Parmi les 71 espèces contactées, 43 espèces ont été observées en période de migration pré ou postnuptiale. Aucune espèce strictement migratrice n’a été observée sur l’aire d’étude. Très peu de mouvements migratoires ont été observés durant la migration postnuptiale.
Une recherche complémentaire a été effectuée au-delà de l’aire d’étude afin de rechercher d’éventuels sites de migration importants. Cette recherche ciblée sur les étendues aquatiques dans un rayon de 2 km n’a pas permis de mettre en évidence la présence d’oiseaux migrateurs en nombre significatif. Il semble donc ne pas y avoir d’enjeux locaux pour la migration.
Il est à noter que de nombreux groupes de Goéland leucophée survolent le site en direction de l’est de l’aire d’étude, probablement pour se rendre au centre d’enfouissement de Lapouyade situé à proximité afin de s’y alimenter.
Bonjour,
Les impacts qui ne seront pas évités ou réduits (dits impacts résiduels), feront l’objet d’une compensation avec un objectif de résultat en termes de gain écologique (ou en lien avec les obligations fixées dans le SDAGE Adour Garonne pour les zones humides). La surface de compensation pour les espèces protégées serait d’environ 161 hectares et d’environ 47ha pour les zones humides. Ces compensations seront mutualisées quand cela est possible. Les zones de compensation se situeront en priorité proche du site ou au plus loin à une quinzaine de km (en respect de l’article L.163-1 du Code de l’Environnement).
Les caractéristiques des zones de compensation sont définies selon des conditions précises en lien avec la DREAL Nouvelle-Aquitaine (Direction Régionale de l’Environnement de l’Aménagement et du Logement) :
Pour assurer la pérennité des mesures d’évitement, de réduction et de compensation, des mesures de suivi et d’accompagnement seront mises en œuvre et validées préalablement par les services de l’Etat.
Bonjour,
La zone d’envol restera vierge de tout équipement pour 70% de son emprise, les 30% restants étant constitués de voiries calcaire et rails.
L’ATOL sera décomposée en 3 parties :
De par sa taille et étant plus léger que l’air, les phases de décollage et d’atterrissage du dirigeable est une manœuvre critique et délicate. C’est pour cela que la zone de l’ATOL doit être travaillée et réalisée avec soin pour permettre son parfait déroulement.
Hormis les voies ferrées permettant de déplacer les dirigeables et les voies de circulation des véhicules l’ATOL reste une zone végétalisée conservant au maximum l’état initial du site.
L’A.T.O.L. est composée de plusieurs secteurs concentriques, qui font l’objet de préconisations différentes en fonction de leur usage et du cône d’envol du dirigeable. Les différents périmètres sont calculés en fonction du cône d’envol du dirigeable. Chaque zone sera maintenue dans l’état existant mais fera l’objet d’un plan de gestion afin de limiter la hauteur des ligneux.
L’ensemble de la zone doit avoir une végétation contrôlée variant de 15 cm, 40 cm, 60 cm à 1,00 m de hauteur.
L’entretien des zones 3, 4 et 5 se fera par fauche tardive entre septembre et février afin d’éviter les période sensible de la faune, notamment la période de reproduction du Fadet des laîches.
Bonjour,
L’habitation située dans le périmètre du projet ne pourra plus être accessible à partir du démarrage des travaux, prévu en 2024, au même titre que le chemin du Broustier dans sa configuration actuelle.
Pour préserver l’usage qu’en ont les habitants du territoire et l’accès pour la défense incendie, le projet prévoit le dévoiement du chemin forestier à partir d’une autre piste forestière, connectée à la RD 250.
Bonjour,
La Saye est un cours d’eau identifié à la Trame bleue régionale, avec une fonctionnalité à la fois de réservoir de biodiversité et de corridor écologique. Compte tenu de la présence de milieux naturels protégés liés aux milieux aquatiques (sites Natura 2000 et ZNIEFF recouvrant la Saye) sur le périmètre de projet, les eaux superficielles et souterraines sont classées comme fortement vulnérables. Le projet devra respecter le SDAGE Adour-Garonne et le SAGE Isle-Dronne (déclinaison locale du SDAGE au regard des enjeux locaux)
Le ruisseau de la Saye et la Saye et ses affluents constituent donc une zone de frai potentielle pour le Chabot, la Lamproie de rivière, la Lamproie de Planer, la Lamproie marine, la Truite fario, la Vandoise et le Brochet.
Un travail d’évitement des zones sensibles réglementaire a été réalisé, ainsi le projet de ZAE a été positionné intégralement en dehors du périmètre du site Natura 2000. Seule une partie de l’affluent de la Saye sera impacté notamment par la mise en place des ouvrages de franchissement pour les rails. Des mesures de protection des berges à proximité directe seront mise en place afin de ne pas les endommager.
En phase chantier, le positionnement des installations de chantier se fera en dehors des zones sensibles du secteur qui sont les cours d’eau, zones humides et inondables, en particulier celles abritant des espèces protégées. Des mesures spécifiques seront mises en place pour éviter la pollution du cours d’eau durant les travaux (travail en période de basses eaux et hors période sensible pour la faune, pêche de sauvegarde si besoin, pas de manipulation de produits polluants à proximité du cours d’eau mais plutôt sur une plateforme à l’écart dédiée et étanche, etc.).
En outre, le franchissement existant de la Saye sera conservé. Le passage de voies ferrées entre les futurs hangars et l’aire d’envol générera la création de deux franchissements de l’affluent de la Saye. Initialement, la mise en place d’un busage était prévue pour permettre la gestion du risque inondation. Au regard de l’enjeu écologique de cet affluent et de ces berges et dans une volonté de maintenir la continuité écologique et hydraulique, nous avons préféré mettre en place un ouvrage de type pont-cadre d’une dizaine de mètres de largeur, qui permet de rétablir un substrat le plus naturel possible et de conserver les berges et la ripisylve sous l’ouvrage. En complément, des banquettes seront installées sous les ponts-cadre pour permettre le passage des mammifères terrestres semi-aquatiques à enjeu (Vison d’Europe et Loutre d’Europe).
Ainsi, environ 16 ha de l’aire étudiée seront intégralement préservés et conservés dans leur état naturel, en particulier les rives de la Saye.
Bonjour,
Le contexte mondial de hausse de la demande de transport de fret et les engagements pris à toutes les échelles (internationale, nationale, régionale et locale) pour réduire drastiquement les émissions de gaz à effet de serre (GES) encouragent le développement d’une solution innovante de transport de fret par dirigeable. En effet, le transport de marchandises représente environ 10% des émissions mondiales de CO2 (d’après France Stratégie), dont la moitié par le transport routier.
Pour répondre au défi de décarbonation du transport de fret, le dirigeable apporte un meilleur bilan carbone que les autres modes de transport et une solution technique nouvelle pour désenclaver les zones isolées.
Il existe d’autres alternatives pour du transport de marchandises de point à point. Les modes de transports routiers seuls ou combinés avec le mode maritime ou ferroviaire sont aujourd’hui les principaux modes utilisés à l’échelle nationale et internationale. Il existe aussi des solutions de fret aérien (avion-cargo, hélicoptère) pour répondre à certains besoins spécifiques. Pour autant, l’ensemble de ces modes présente des limites techniques (accessibilité, tonnage et format des marchandises) et des effets importants sur l’environnement (émissions de GES, création d’infrastructures…).
La société FLYING WHALES a réalisé plusieurs études comparatives :
Par ailleurs, la solution développée par FLYING WHALES vise une décarbonation totale des opérations avec le passage d’une propulsion alimentée au kérosène à une propulsion aux piles à combustibles (production d’électricité à partir de dihydrogène liquide), réduisant à termes les émissions de GES.
Bonjour,
Les sensibilités liées à l’environnement naturel et au cadre de vie des habitants du territoire sont prises en compte dans le projet, notamment à travers la rencontre d’acteurs locaux et de riverains en amont de la concertation.
Au sein du territoire de la CDC, il n’existe pas de site existant ou alternatif qui permettrait de réaliser le projet dans des conditions équivalentes.
La CDC Latitude Nord Gironde, notamment dans le cadre du SCoT, avait techniquement déjà identifié le projet potentiel de réaliser un nouvel espace économique d’intérêt communautaire sur la commune de Laruscade. La desserte directe par la route et l’accès rapide depuis la gare TER de Saint-Mariens – Saint-Yzan en font une place privilégiée pour développer une activité économique. De plus, le site est classé en partie en zone à urbaniser au PLU et la CDC était déjà propriétaire d’une partie des terrains.
A l’échelle de la Gironde, une étude de la Région confirme que le site de Laruscade présente le meilleur bilan multicritère.
En effet, la Région Nouvelle-Aquitaine qui soutient le développement de la filière dirigeables, a recherché de manière approfondie plusieurs sites en Nouvelle-Aquitaine pouvant accueillir une zone dédiée à la filière dirigeable. Il en ressort que le site de Laruscade est finalement le seul compatible sur la base d’une analyse multicritère (superficie ; accessibilité ; impact sur l’environnement local) et un aval de la DGAC pour les autorisations aériennes.
L’atelier organisé le mardi 7 mars à Saint-Savin dans le cadre de la concertation sur le projet de ZAE sera justement dédié à l’insertion du projet dans son environnement et à son impact sur le cadre de vie.
Bonjour,
La concertation préalable intervient en amont de la demande d’autorisation auprès des services de l’Etat, ainsi que de l’enquête publique. L’étude d’impact sera intégralement publiée dans le cadre de l’enquête publique qui doit se dérouler au second semestre 2023.
Le projet de ZAE filière Dirigeables à Laruscade est soumis à étude d’impact : il s’agit d’une étude technique qui vise à mieux comprendre les conséquences de toutes natures, notamment environnementales, d’un projet d’aménagement pour tenter d’en limiter, atténuer ou compenser les effets négatifs.
Dans le cadre de l’étude d’impact initiée en 2021, l’état initial a permis de nourrir les premiers éléments de contexte social et environnemental du site de Laruscade. Les pages 36 à 47 du dossier de concertation (téléchargeable depuis la rubrique « S’informer ») fournissent une synthèse de ces éléments. Par ailleurs, un atelier thématique « Insertion du projet : environnement et cadre de vie » sera organisé mardi 7 mars, à nouveau dans la salle des Halles de Saint-Savin ; ce sera l’occasion de recueillir des informations techniques et de contribuer à enrichir le diagnostic et à améliorer le projet.
Bonjour,
Toutes les parties prenantes au projet de ZAE filière dirigeables (CDC, Région, Etat, entreprises) cherchent à en faire une grande réussite industrielle.
La société FLYING WHALES conçoit un aéronef à des fins commerciales et est de fait soumis aux exigences très strictes de certifications des autorités de l’aviation civiles (notamment de l’EASA, l’Agence Européenne de la Sécurité Aérienne). Ce sont des exigences qui ont fait de l’avion le moyen de transport le plus sûr. Avant de survoler les zones d’habitation et les voies de circulation, même en phase d’essai, Le dirigeable devra obtenir des certifications pour garantir un niveau de sûreté correspondant aux standards très élevés de l’aéronautique :
Sur le plan économique, FLYING WHALES a signé une trentaine d’accords préalables avec des utilisateurs finaux, qui nécessiteront des confirmations ultérieures en fonction de l’avancement du programme. A ce stade, le risque financier est connu et les garanties de développement de la filière sécurisent l’opération.
La CCLNG restant propriétaire et la Région étant locataire au titre du bail emphytéotique, en cas de cessation d’activité, les installations reviendraient aux collectivités qui s’entendraient sur l’avenir du site. Si le programme de FLYING WHALES, prévu sur plusieurs décennies, n’aboutissait pas, le site de Laruscade ne serait pas laissé à l’abandon : une étude de reconversion a été menée et plusieurs options sont envisagées pour adapter l’usage des bâtiments afin de répondre à d’autres besoins. En outre, les bâtiments sont conçus pour être démontables.
L’obtention de l’arrêté de Déclaration d’Utilité Publique permettra de mobiliser l’outil expropriation, la maîtrise totale du foncier n’est donc pas une condition pour obtenir cet arrêté. Par ailleurs, les demandes d’autorisations liées au code de l’environnement et au code de l’urbanisme peuvent être déposées sans maîtriser la totalité du foncier, par contre, la maîtrise du foncier par le maître d’ouvrage ou l’accord des propriétaires est nécessaire pour engager les travaux.
Bonjour,
Le premier plan auquel vous faites référence est un schéma d’allotissement du projet : il présente l’agencement des différents lots de la ZAE, des voiries (aménagées par la CDC) et des espaces naturels inclus dans le périmètre total du projet.
La carte « zonage après modification » représente les modifications apportées au plan de zonage du PLU de Laruscade dans le cadre de sa mise en compatibilité, nécessaire à la réalisation du projet de ZAE. Les nouveaux zonages US et Ns (cf. pages 32 à 35 du dossier de concertation) correspondent aux dimensions maximales des ouvrages, installations et aménagements nécessaires aux activités logistiques, d’assemblage et de mise en vol de dirigeables.
La zone US s’étend ainsi sur toute la superficie des futurs bâtiments des lots 1, 2, 3 et 4 et des voiries périphériques.
Les zones d’envol (de 650m de diamètre pour le lot 5) resteront des zones végétalisées hormis les voies ferrées permettant de déplacer le dirigeable et les voies de circulations des véhicules. Ainsi, la zone Ns concerne uniquement les surfaces nécessaires aux voies de transfert de dirigeables et de circulations des véhicules.
Concernant les acquisitions, la CCLNG poursuit son processus d’acquisition à l’amiable auprès des propriétaires de terrains dans l’emprise de la future ZAE au sein de laquelle on recense une maison d’habitation. Chaque situation étant différente, la CCLNG a engagé des discussions avec chacun des propriétaires dans l’objectif de parvenir à un accord entre les deux parties.
A ce jour, le calendrier porté par l’industriel reste compatible avec les procédures d’acquisition menées à l’amiable. Toutefois, la CCLNG déposera un dossier de Déclaration d’Utilité Publique afin de se réserver la possibilité de recourir à des expropriations uniquement en cas d’échec des négociations à l’amiable. Le dépôt de ce dossier n’empêchera en rien la poursuite des discussions avec les propriétaires.
Vous trouverez dans le dépliant l’ensemble des informations liées à la concertation en cliquant ici
bravo, super projet.
enfin un secteur d’avenir sur lequel nos élus s’engagent. Et, certainement une alternative aux modes de transport carbonés !
C’est vraiment super ce projet transport décarboné qui permet d’accéder à des zones ou les camions ou trains ne peuvent pas accéder … et plus c’est vraiment un magnifique projet qui va créer des emplois pour notre régions. Allez les baleines volantes !
Ce projet est vraiment formidable au niveau de l’emploi car il a été dit que cela faisait 100 ans que plus personne ne construisait de dirigeables, ainsi le savoir-faire est à recréer totalement et donc cela représente une opportunité unique pour les habitants du territoire d’acquérir ce savoir-faire puis de le mettre en oeuvre chez Flying whales. Il n’y a pas besoin d' »importer » d’ailleurs la main d’oeuvre déjà qualifiée puisqu’elle n’existe nulle part. Tout le monde est sur un pied d’égalité vis à vis des qualifications à acquérir avec un avantage pour ceux qui sont déjà sur place ! Il faut favoriser le développement rapide de ce projet avant que d’autres pays ne le copient
On peut rester étonné, stupéfait ou triste de la défection et de l’absence des élus communautaires et des élus de la commune de Laruscade sur l’atelier thématique « Insertion du projet : environnement et cadre de vie ». En ce qui concerne la présence des citoyens, moitié moins de participants.
Ceci laisse bien entrevoir un désintérêt notable des uns et des autres pour les questions liées à la protection et à la pérennité de l’environnement en milieu rural et dans une zone d’habitation fortement affectée par la pollution due au transport routier.
C’est regrettable car cet atelier organisé sous une forme interactive, est le seul qui ait permis aux personnes présentes de s’exprimer vraiment et d’échanger avec les porteurs de projet, les architectes, les paysagistes, les responsables du Conseil Régional, et d’autre citoyens.
Juste un petit calcul : les sociétés qui vont acquérir un dirigeable devront aménager elles aussi une aire d’envol de 35 hectares et pour ce faire la déboiser, la défricher, la terrasser et raser les habitations situées sur le site comme ce sera le cas à Laruscade.
Que représente à terme la superficie artificialisée (disparition de la flore et la faune locale) si l’on considère que la construction de 12 dirigeables par an pendant 30 ans et sans doute plus génèrera une déforestation de 12x30x35 ha =12 600 hectares ? Qui souhaitera que cela se produise dans son environnement proche ou sur son lieu de vie ?
Le projet de construction de l’usine Flying Whales ne se situe pas sur une friche industrielle, mais sur une zone naturelle boisée pour sa majorité et habitée, proche de la Zone Natura 2000 de la Saye.
Le projet de la Start-Up Flying Whales est présenté tel une avancée spectaculaire écologique dans le transport aéronautique au regard de ses moyens de propulsion.
Par contre il n’est pas de nature à surseoir au transport routier actuel qui engorge la circulation sur la nationale 10 et pollue les villages et villes traversées : en effet le PDG de FW affirme dans une interview de la presse régionale du 6 octobre 2021 :
« Nous ne voulons pas concurrencer les autres moyens de transports, le camion n’est pas notre concurrent ! Nous sommes un complément, quand les routes manquent et que les infrastructures sont abîmées. »
Selon le plan Climat Energie Territorial de la CDCLNG établi au cours du premier semestre 2022 concernant le territoire de la Haute Gironde « le secteur routier voit ses émissions par habitant très nettement supérieures à celles du département et de la région en raison des traversées de la N10, et plus légèrement l’A10 ».
Il est prévu environ 20 camions par jour en phase d’exploitation pour le transport de la charpente en fibre de carbone depuis Epsilon Composite à Gaillan Médoc et le système de levage fabriqué par REEL à la Rochelle, sans compter l’approvisionnement par AIR Liquide de l’hélium.
300 emplois sur le site et 300 emplois indirects signifient aussi déplacements supplémentaires des personnes sur le territoire et en deçà.
En contrepartie « Flying Whales annonce un vol tous les 3 jours en période d’essai, puis 3 envols par mois en production. »
On peut se demander alors si ce projet va vraiment favoriser la « décarbonation du secteur des transports » ! Si ce n’est un secteur bien spécifique et quelque peu marginal en regard du frêt quotidien qui transite à travers notre pays, ou de celui du transport aérien existant.
Un projet magnifique, innovant et enthousiasmant avec une empreinte environnementale très faible pour puisqu’il utilise la poussé d’archimède.
Bravo aux élus et industriels qui portent ce projet, j’ai hâte de voir ces dirigeables voler car pour une fois on a projet industriel de pointe qui se développe ailleurs que dans la Métropole Bordelaise !
Bravo.
Bravo !! Enfin un projet innovant, à impact positif sur le transport aerien en particulier en foret et zones sinistrées, generateur de nombreux emplois de production dont nous manquons tant; et qui ne s implante pas en proximité de metropole mais dans une friche industrielle du nord Gironde . On imagine le temps et la coopération prive/public et entre territoires qu il a fallu développer le projet! Bravo à toutes les parties prenantes !!! Que cette concertation permette de faire connaitre et encourager encore davantage le projet ! En tant que citoyenne de notre region, je soutiens à fond le projet !!
Bonjour, je voulais juste dire que c’est un superbe projet et très fier qu’il se réalise dans notre région. Hâte de voir l’évolution de tout cela!
Je suis un fervent supporter de ce projet; écologique, moderne, inventif, créateur d’emplois.
C’est une véritable chance de le voir s’implanter ici